En s’engageant dès le 11 octobre 2018, la Communauté d’Agglomération du Grand Arras a été la première collectivité locale à bénéficier du soutien de l’Etat dans le cadre des nouveaux Contrats de Transition Ecologique (CTE). En contrepartie de ce soutien de 48 millions d’euros sur 4 ans, c’est un plan de 40 actions dans le domaine des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique ou des mobilités décarbonées qui est engagé.
Aux côtés de huit autres entreprises de secteurs variés (Veolia, Total, Haägen Dasz, EDF, GrDF, Kéolis, Dalkia, Décima) Enedis est étroitement associée à ce plan sur les volets de l’autoconsommation électrique, de la fourniture de données énergétiques locales ou du programme Linky (la Communauté d’Agglomération d’Arras est la première agglomération française ayant achevé son déploiement des nouveaux compteurs communicants).
Trois autres collectivités ont suivi de près cette signature à la fin de l’année 2018 : les communautés de communes du Châtillonnais et du Montbardois (Côte-d’Or), le pays de Sambre-Avesnois (Nord) et la « Cleantech Vallée » (communauté de communes du Pont du Gard et communauté d’agglomération du Gard rhodanien).
Cinq autres territoires français sont engagés dans des discussions avec le ministère de la transition écologique pour signer des CTE : le département de la Corrèze, le Territoire Côte Ouest (Ile de La Réunion), le Briançonnais, le Pays de Grasse et la Guyane.
Quatre autres devraient s’engager prochainement dans le processus. Il s’agit de territoires autour des centrales de production d’électricité à partir de charbon dont l’arrêt est programmé d’ici 2022 : métropole Aix-Marseille-Provence (centrale de Gardanne), communauté de l’agglomération havraise (centrale du Havre), communauté d’agglomération Saint-Avold Synergie (centrale de Saint-Avold), ainsi que la communauté de communes Estuaire et Sillon, la communauté d’agglomération de la région nazairienne et Nantes Métropole (centrale de Cordemais).
